Ce matin, c'est un petit déjeuner entre mère et filles.

- Maman, demande la petite Maëlle, 

- Oui ma puce ?

- J'ai peur d'aller à l'école demain... bredouille la fillette.

- Pourquoi ma chérie ?

- Bah... je suis pas comme les autres petites filles... j'ai pas la même couleur de peau que les autres enfants,  et pis si j'y arrive pas ? questionne la fillette inquiète.

- Pourquoi tu n'y arriverais pas ma chérie ? Tu vas commencer comme tout le monde tu sais, tu vas y arriver, et si les autres enfants t'ennuis à l'école tu me le diras d'accord ? Et on avisera d'accord ?

- D'accord, dit Maëlle pas vraiment rassurée mais un peu calmée. 

Nolwenn et Opale semble bien s'entendre, et c'est très souvent que la plus grande donne des câlins à sa petite soeur.  

 Après s'être occupé de ses plus grands, Anaëlle décide de continuer d'apprendre le langage à Opale qui semble plutôt motivée et s'amuse à répéter les mots que sa mère lui donne. 

 Puis l'une des grande de la famille, Fiona décide de passer voir sa mère et s'est sur un peu de danse en famille que se termine la visite de Fiona.

 Après la visite de Fiona, Anaëlle s'occupa un peu de la maison. Elle bricola un peu avant de se mettre à pâtisser. 

 Pendant que sa mère s'occupait de la maison, James s'occupa de Nolwenn, l'aidant pour le pot et lui donnant son dîner, que la jeune fille bouda un peu, elle n'avait pas vraiment envie de manger des petits poids, mais devant le regard intransigeant de son père, elle finit par manger son assiette à grand renfort d'eau. 

 Encore une fois les deux femmes de la maison mangèrent en tête à tête et leur conversation tourna autour de l'école. La petite fille finit par être plus rassurée et débarrassa la table plus sereine que tout le reste de la journée. 

- Bonne nuit Opale, dit Maëlle en serrant sa petite soeur dans ses bras.

- Nuiiiiit Maëlle, dit la bambine avec un grand sourire.  

Ce soir-là Maëlle passa auprès de tout ses enfants leur souhaitant une bonne nuit, les bordant avant d'aller elle-même se coucher, la journée du lendemain allait être mouvementée !